Asnières-sur-mon-blog

L'excellent site  http://mc2.viabloga.com  propose de réfléchir au thème suivant :

Un blog collaboratif peut-il permettre de surmonter des clivages, des différences de points de vue, qui existent dans la vie ?

Question subsidiaire de Guillaume :

Peut-on co-écrire, sur un blog collaboratif, sans être forcément d'accord avec les autres co-auteurs ? (Guillaume)

Argument : voir la discussion au sujet d'Asnières-sur-Vègre
 

Références : vivre Asnières ensemble - Asnières-sur-mon-blog

Re: Re: Re: Re: Oui a quelque chose près ! (ma réponse à Guillaume le 6 juillet 2006)

Un blog collaboratif peut-il permettre de surmonter des clivages, des différences de point de vue, qui existent dans la vie ? Je voudrais dire oui à Guillaume si on arrive à prendre un certain recul... arriver à écrire et a débattre sur le fond d'un problème sans être (ou se sentir) agressé par la forme que peut prendre la discussion. Facile à dire... Pas facile à faire... mais c'est pourtant là que me semble être la solution... Garder à tout prix l'objectif de la communication et de la coopération.

Pour donner un élément de reflexion personnel, je dirais que mon article "Un lotissement en bordure de Vègre !" sur le site "Vivre Asnières ensemble" est un cas de figure intéressant. Je donne mon point de vue sur le fond et Isabelle, ma collègue, me reprend d'abord sur la forme, puis sur le fond objet de notre discorde...  Je ne reviens pas sur le fond qui établit clairement notre différence mais je dirais que la forme marque à mon sens la réaction de quelqu'un qui est "propriétaire" du blog et c'est là, dans le cas de figure présent que peut être est la faille. Isabelle s'est sentie agressée "gênée" dira-t-elle dans sa réponse par mon propos. Un blog collaboratif doit être consensuel dans l'objectif de la communication. Alors évidemment cela doit impérativement aller vers la recherche d'un ton qui sache rester "détaché" et battre ma coulpe ! d'où mon  "Facile à dire... Pas facile à faire" dans ma réponse à Guillaume.

Bien à vous.