Journées du patrimoine à Poillé-sur-Vègre
Salut Pierre,
Un petit papier pour les animations prévues à Poillé sur Vègre pour les journées du patrimoine. Si possible, pour ton blog.
Bien à toi, Patrick Communeau.
email Mardi 4 Sept-2007. 18:59
http://www.poille-sur-vegre.com/
Journées du Patrimoine
Dans le cadre des journées du patrimoine, l’association du Patrimoine de Poillé organise plusieurs animations.
Samedi 15 septembre à 15h30 à l’église Saint-Denis : Découverte de l’orgue polyphone de l’église Saint-Denis par Alain Boulais, organiste amateur. Au cours de la visite, Alain Boulais fera découvrir le fonctionnement de l’orgue. En fin de visite, l’organiste jouera quelques morceaux de musique. Une exposition retracera l’histoire et le fonctionnement de l’orgue polyphone de Poillé. « L’orgue polyphone de l’église Saint-Denis, a été réalisé en 1887 par la maison Louis Debierre, facteur d’orgue à Nantes. Il est ensuite racheté au Grand séminaire d’Orléans en septembre 1892 par l’abbé Louis Mersenne » , indique Patrick Communeau, président de l’association du Patrimoine de Poillé.
Du 14 au 25 septembre : Exposition sur les voyages d’hier et d’aujourd’hui au relais de Poillé. L’exposition retrace l’histoire des moyens de transports depuis le moyen-age. Cette exposition sera aussi l’occasion de mettre en valeur l’ancien relais de poste de la commune. A cette occasion, Annick Guilleux, licenciée en histoire moderne, donnera une conférence sur l’histoire des relais de poste dans la Sarthe, notamment celui de Poillé sur Vègre.
Vendredi 21 septembre à 20h30 au Relais : Conférence d’Annick Guilleux sur les relais de poste.
Samedi 22 septembre à 20h30 (en plein air si le temps le permet, sinon à la salle des fêtes) : Théâtre de rue par la compagnie « Les Vilains » de Parcé. Titre de la pièce : « L’assemblée des femmes » , théâtre grec d’Aristophane. « Dans l’Assemblée des femmes », les Athéniennes, à l’instigation de l’une des leurs, se rassemblent à l’aube sur la place publique du village pour prendre à la place des hommes les mesures qui s’imposent pour sauver la cité. Ce texte, écrit vers 392 av. J.-C., résonne étrangement à nos oreilles modernes : hypocrisie, vénalité, absence de générosité, machisme sont des points toujours d’actualité. Le texte pourrait être grave, mais il se dit sur le ton de la comédie, léger, grivois, à la limite de la paillardise mais aussi poétique avec des personnages forts et actuels.
Pratique : Patrick Communeau
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02 43 92 16 31
